En deux mots…
La Cie du Théâtre du Dé ouvre la saison avec La dame de la mer, pièce de Henrik Ibsen évoquant les tourments d’une jeune femme dans un univers familial recomposé. Puis l’humoriste Nathalie Devantay se demande si elle n’aurait pas raté sa vie. Quant à la chanteuse Sylvie Bourban, elle livre ses confessions intimes dans une Joyeuse mélancolie.
American Princess rappelle le destin tragique de la patineuse Tania Harding, la « Bad girl » du sport américain. Pascal Rinaldi, « réinvente l’espoir » en trio. Yvette Théraulaz et Pascal Schopfer proposent un voyage bouleversant dans le répertoire de Barbara et de Brel.
Marie-Emmanuelle Perruchoud et François Karlen plongent dans l’univers de Raymond Devos. Brigitte Rosset dit « Merci pour le couteau à poisson, les conversations et les délices au jambon ». Eugène écrit à son dictateur, autoproclamé « génie des Carpathes ».
Dans En garde à vue, Monsieur le maire est soupçonné : trois jeunes filles de la région ont été violées et tuées. Une intrigue croustillante…Dans Quichotte et Pança, deux histrions déjantés réinterprètent le classique de Cervantes avec grande malice. En fin de saison, le programme Contes du cru, contes d’ailleurs fait un focus sur la place de l’oralité dans le patrimoine culturel local et régional.
Bienvenue au Théâtre du Dé.